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Bonjour !

Aujourd’hui je fais le choix de partager ma vision, parce que je me dis qu’elle peut aider dans la période que nous traversons.

Je suis Guérisseuse et ma quête est celle de la Liberté intérieure et de ma croissance spirituelle. Ces dernières semaines particulièrement, la Nature et surtout les Animaux me donnent des enseignements. Le message que je porte ici est celui de l’Oiseau, qui aime voler au-dessus des choses et se sentir libre. C’est sa voix que j’aimerais vous faire entendre.

Crédit photo Pexels.com

A chaque instant, nous faisons le choix, consciemment ou inconsciemment, de la vision que nous voulons adopter pour notre vie. Avec quels filtres, quelles lunettes, allons-nous regarder les évènements ? Ce que je souhaite à chacun, c’est de porter ses lunettes en conscience, et non pas à son insu. 

« Vous êtes dans la brume, et pourtant, Tout est là. » m’a soufflé la Terre-mère hier en méditation. J’avais cette sensation de comprendre complètement, mais comment mettre cela en mots ? Gaïa parlait d’abondance, elle nous disait qu’elle est toujours notre Terre d’accueil et que l’expérience continue. C’est aussi simple que cela. La Terre ne nous a pas reniés, sinon, nous ne serions plus là.

Chacun à son niveau va être visité par la peur, et de par nos expériences, nous allons être touchés à des endroits différents. Je crois qu’il est indispensable de « mesurer sans juger » notre entourage, de faire nos meilleurs choix pour nous, et tant mieux si nous inspirons les autres. Certains ont peur de mourir, d’autres ont peur de contracter la maladie, d’autres ont peur de tuer leurs proches, d’autres ont peur de faire faillite, d’autres ont peur de la solitude…

Je crois qu’il faut regarder notre peur dans les yeux. L’accueillir, lui dire « Bienvenue », la décortiquer, la rassurer, lui donner de l’amour, pour qu’elle se fasse plus docile.

J’aime jouer, des fois, à imaginer le pire du pire pour moi, une fois que je serai malade, une fois que je serai morte, une fois que je serai sans revenu, une fois que je vivrai dans un monde dans lequel l’économie se sera effondrée.

Je peux m’amuser avec ces idées et en faire des clés de guérison. Imaginer que je suis malade et visualiser que je guéris très vite, comprendre ce qui me fait peur dans la mort et en profiter pour me réaligner avec ce que je souhaite laisser en quittant cette vie, travailler sur la confiance envers mes enfants si j’ai peur de les laisser seuls au monde, apprendre à me découvrir sans ce « masque social » du travail pour ceux qui se retrouvent brusquement face à l’inactivité…

J’ai la chance depuis longtemps d’avoir la lucidité que je peux mourir à chaque instant. Pour moi, nous partons simplement quand c’est le moment, nous partons dans un autre monde, faire autre chose, parce que nous en avons fini avec cette expérience-là. Les récits d’expériences de mort imminente nous expliquent très bien cela. Nous partons tels que nous avons vécu, pétri d’inquiétude ou rayonnant de lumière, à l’image des choix que nous avons faits dans cette vie. Pour moi il n’y a pas de « mauvais moment » pour mourir, il y a un Plan plus grand que l’on perçoit plus ou moins selon notre degré de Conscience et de Confiance.

Parce que je suis Guérisseuse et que je suis en contact avec les Âmes des défunts, je perçois qu’au-delà de nos brumes personnelles, au-delà de l’incarné (in-carne), il existe des niveaux subtils qui se superposent, et un Plan d’évolution.

Qu’importe que vous soyez croyant ou non croyant, bien plus que croire, je ressens très profondément que c’est la manière dont nous avons aimé qui nous permettra d’évoluer plus ou moins vite après le « Pas-sage » de la mort.

Comment nous sommes-nous aimés ? Comment avons-nous aimé notre prochain ? Comment avons-nous dépassé la pesanteur de la matérialité ? Comment avons-nous sublimé notre condition humaine personnelle en réalisant quelque chose pour l’autre qui nous a demandé de nous dépasser ? Maître Philippe de Lyon, Médecin et Guérisseur (1850-1905), invitait chacun à réaliser un acte réparateur envers son prochain, expliquant que cet acte serait radicalement différent selon le niveau de conscience de la personne. Pour certains, ce sera offrir la moitié de sa miche de pain, pour d’autres l’épreuve sera de donner sa vie… Nous n’en sommes pas tous au même point.

Ce « Pas-Sage » de la mort est devenu un tabou dans nos sociétés, accompagné d’une perte de clairvoyance sur la finitude des ressources, les cycles de la vie, la reliance universelle de Tout. Nous n’accompagnons plus nos Morts. Nous ne savons plus allumer des bougies pour aider les Âmes à passer dans la lumière, nous ne prions plus,… Nous ne croyons que ce que nous voyons, mais réfléchissez à cette question : en réalité, Qui voit Quoi ? Etes-vous sûr que nous voyons la même chose ? Et que pourriez-vous voir si vous demandiez à Voir ? J’ai depuis mon enfance demandé à utiliser au maximum les capacités de mon cerveau d’humaine (oui d’humaine !) incluant les capacités de télépathie, de clair-ressenti, de clair-voyance,… et surtout…. mon intuition ! Et comme toute intention portée et répétée, ce vœu a été exaucé, même s’il me reste énormément de voiles à enlever pour accéder à la Vérité que je souhaite contempler!

Que puis-je aussi face à l’idée de la mort de mes proches, de ceux que j’aime ? Quelle immense acceptation de la liberté individuelle il m’est demandé, quand un de mes parents me dit que s’il était malade il ne voudrait pas que je lui fasse un soin ?

La justesse de chaque intention pour mes patients et mes proches se fait dans la dentelle. Je sens combien il faut que j’entoure mes demandes de sagesse, pour m’en remettre au « meilleur chemin » pour la personne, sans savoir lequel c’est… Je peux accompagner, mais je ne dois pas mettre d’intention pour l’autre. Qui suis-je, moi, pour savoir si la personne, indépendamment de tout l’amour que j’ai pour elle, doit traverser la maladie  pour grandir, ou si elle a encore quelque chose à accomplir sur Terre? Est-il si juste de craindre que l’autre traverse ses propres expériences ?

Je trouve mon apaisement ainsi : J’envoie de la Lumière. Et chacun peut faire de même.

L’Homme qui se pense tout-puissant et tout-indépendant, ne voit pas en réalité qu’il est un maillon de la chaîne des Règnes, la chaîne allant du Minéral, au plan Spirituel en passant par le Végétal, l’Animal…

L’Homme se croit décideur de sa vie, alors que 80% de ses décisions sont prises par des programmes inconscients, qu’il est incapable de faire taire le bavardage de son mental, qu’il est, sans s’en rendre compte, guidé par ses ancêtres (dans l’ombre ou dans la lumière), qu’il capte des « énergies » négatives et peut vivre en symbiose avec elles aussi simplement que le lierre pousse sur le tronc d’un arbre. Et cela, alors que son cœur et son corps lui enseigneraient les plus belles leçons s’il leur laissait de la place !

J’ai cette immense chance d’oser demander, et de recevoir, dans les heureux hasards de la vie, dans mes méditations, dans mes rêves, dans mes rencontres, les enseignements des Sages, des Animaux, des Eléments, des Ancêtres,… et de goûter des parcelles de mon Infini.

Peut-être est-ce le moment de demander humblement à la Vie, à vos Guides les plus élevés, de vous venir en aide ?

Peut-être que la Vie peut vous enseigner une manière différente de passer au travers de cette période tumultueuse ? Peut-être est-ce le moment de se mettre à la méditation ? Au yoga ? A la sophrologie ? A cuisiner en pleine conscience ? A la bioénergie ? A la kinésiologie ? A l’EFT ?

J’ai découvert avec beaucoup de surprise en côtoyant des Amérindiens, des Guérisseurs locaux, des Médiums, ou la psychanalyse, qu’en réalité, il n’y a qu’une voie d’Eveil : la connaissance de Soi.

J’accepte l’intégralité de l’expérience, je lâche prise sur ce que je ne peux pas maîtriser, et je me mets dans la meilleure posture pour pagayer dans ma barque au cœur de la tempête. Car oui, dans ma vision, la tempête sera longue. Autant accepter cela d’une vision « adulte » sur les plans sanitaires et économiques! Ce n’est que le commencement !

Il appartient encore à chacun de choisir entre la joie de pouvoir partager plus si nous avons moins, de manière plus raisonnable, plus juste pour l’ensemble du vivant, de célébrer cela comme une fête, ou de regarder chaque jour ce que l’on ne peut plus faire, de regretter le bon vieux temps… Il appartient à chacun de choisir, mais ce choix à mon sens dictera la manière dont vous traverserez la tempête.

Au quotidien, il m’appartient concrètement de choisir de quoi je veux me nourrir. Si je choisis de regarder les informations à la télé toute la journée, et de nourrir ma bête noire qui se gave de mes idées noires, c’est un choix. La pandémie sera toujours là. Si je choisis de regarder au travers du prisme de l’opportunité de croissance personnelle, je nourris en moi la part qui veut grandir et aider. Et la pandémie sera toujours là. Quoi que… Par notre lumière, qui sait la mesure de la guérison que nous apportons ?

La Vie nous invite à nous confiner pour regarder au-dedans. Et si, plus vite nous acceptions le jeu, plus vite nous sortions de l’expérience ?

Après l’hyper-activité à tendance hystérique de ces dernières années, la période nous invite à un retour vers notre propre richesse intérieure. Après l’époque des Burns-out, je suggère l’avènement du Born-in. Une naissance à nous-mêmes qui nous permettra de faire fleurir le monde de demain.

Bérengère REALE

Bioénergéticienne quantique

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